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L'évolution dans la pratique de l'écriture est sensiblement identique pour les écrivants.
La plupart de ceux qui écrivent ont souvent commencé leur pratique à l'adolescence avec la rédaction de l'incontournable journal intime ( plus féminin)
ou des poèmes (plus masculin). On écrit alors pour soi. On aiguise sa plume. Certains dépassent ce stade et continuent, souvent poussés par une force interne, passionnelle, parfois
même thérapeutique. C'est alors le besoin vital d'exprimer l'inexprimable, de fantasmer sa vie et se ressourcer dans l'imaginaire. Puis en progressant dans l'écriture, en se formant et en
prenant le recul nécessaire, on passe à l'étape suivante, celle d'écrire pour être lue. D'où le désir d'être édité pour rencontrer un public plus large que celui de son
entourage pas toujours accessible ou trop complaisant, mais aussi pour être sanctionné par "ses pairs".
S'éditer est une aventure passionnante et qui dit passion, dit tourments. Qui ne connaît pas (à part certains chanceux) les bureaux de poste, le sursautement à chaque sonnerie du téléphone (car la bonne nouvelle arrive ainsi), l'ouverture de la boîtes à lettre pour y trouver son manuscrit en retour gratuit et la lettre de refus motivé ou non. La prudence s'impose à ce stade surtout lorsqu'en désespoir de cause on en arrive à vouloir se faire éditer à compte d'auteurs. Là, pas de reconnaissance de son "talent" ou de ses potentialités. Cette forme d'édition est boycottée par la plupart des médias et le plus souvent on se fait pigeonner. Un directeur littéraire me l'a très justement déconseillé, me redynamisant.
Etant par nature prudente et curieuse, je me suis informée par tous les moyens. J'ai d'abord adhéré à l'association des Auteurs Auto Edités, rencontré et échangé avec l'une d'elle,(Tatiana Kletzky Pradère) puis je me suis abonnée au magazine "Ecrire Aujourd'hui" et à la revue Ecrire/Editer du Calcre, une association de défense et d'information des auteurs amateurs. Malheureusement, l'association a été dissoute et aujourd'hui, cela fait un grand vide. Il ne reste d'eux qu'un petit noyau d'irréductibles qui continuent à éditer des livres de références, indispensable à tout auteur, à mon avis (l'annuaire des éditeurs, des concours, des revues, livres sur les techniques de l'écriture...). Si comme moi, vous souhaitez être informé au mieux. Je vous conseille d'aller faire un tour sur le site de l'Oie Plate (voir rubrique lien). Leurs annuaires des éditeurs sont de vraies Bibles. Les miens sont truffés de marque-pages, d'annotations. L'effeuillage en a usé les pages. Certaines m'ont offert leur potentiel de rêveries, d'illusions. La désillusion a barré définitivement d'autres. Je me lance dans l'aventure avec modération et reflexion. Une écrivain m'a dit dernièrement "il y a quelque part l'éditeur qui nous est destiné" ! Belle image de l'âme soeur adaptée à la littérature.
S'éditer est une aventure passionnante et qui dit passion, dit tourments. Qui ne connaît pas (à part certains chanceux) les bureaux de poste, le sursautement à chaque sonnerie du téléphone (car la bonne nouvelle arrive ainsi), l'ouverture de la boîtes à lettre pour y trouver son manuscrit en retour gratuit et la lettre de refus motivé ou non. La prudence s'impose à ce stade surtout lorsqu'en désespoir de cause on en arrive à vouloir se faire éditer à compte d'auteurs. Là, pas de reconnaissance de son "talent" ou de ses potentialités. Cette forme d'édition est boycottée par la plupart des médias et le plus souvent on se fait pigeonner. Un directeur littéraire me l'a très justement déconseillé, me redynamisant.
Etant par nature prudente et curieuse, je me suis informée par tous les moyens. J'ai d'abord adhéré à l'association des Auteurs Auto Edités, rencontré et échangé avec l'une d'elle,(Tatiana Kletzky Pradère) puis je me suis abonnée au magazine "Ecrire Aujourd'hui" et à la revue Ecrire/Editer du Calcre, une association de défense et d'information des auteurs amateurs. Malheureusement, l'association a été dissoute et aujourd'hui, cela fait un grand vide. Il ne reste d'eux qu'un petit noyau d'irréductibles qui continuent à éditer des livres de références, indispensable à tout auteur, à mon avis (l'annuaire des éditeurs, des concours, des revues, livres sur les techniques de l'écriture...). Si comme moi, vous souhaitez être informé au mieux. Je vous conseille d'aller faire un tour sur le site de l'Oie Plate (voir rubrique lien). Leurs annuaires des éditeurs sont de vraies Bibles. Les miens sont truffés de marque-pages, d'annotations. L'effeuillage en a usé les pages. Certaines m'ont offert leur potentiel de rêveries, d'illusions. La désillusion a barré définitivement d'autres. Je me lance dans l'aventure avec modération et reflexion. Une écrivain m'a dit dernièrement "il y a quelque part l'éditeur qui nous est destiné" ! Belle image de l'âme soeur adaptée à la littérature.